1
de repos, ni dans son plan ni dans le détail des
rues
. Congestion : « un cheval arrête 1000 chevaux-vapeurs ». Et pourtant
2
ées à 200 et 400 mètres par les plans fuyants des
rues
immenses livrées au 100 à l’heure des autos. Les maisons habitées ne
3
eu avant de nous abandonner à l’oubli luxueux des
rues
. Le long de l’Arno, les façades sont jaunes et roses près de l’eau, p
4
es (telle sensation physique de bonheur, dans une
rue
au coucher du soleil, des phares d’automobiles étoilent le brouillard
5
a crainte du réveil. Puis je suis revenu dans ces
rues
où je vous rencontrais parfois, du temps que j’ignorais vous aimer. E
6
suis sorti. Il y avait beaucoup de monde dans les
rues
, sous la pluie. Les autobus passaient par groupes. Plusieurs fois, j’
7
celle-là qui venait de tourner à l’angle de cette
rue
et qui avait votre démarche. Mais, pendant ce temps, vous pouviez par
8
ce sur un trottoir roulant qui me remonta dans la
rue
. La fraîcheur de la brume m’apaisa. Sur la promesse que je fis que je
9
’ai marché plusieurs heures avant de retrouver ma
rue
. Il doit être maintenant 5 heures du matin. Premiers appels d’autos d
10
Il pense que c’est bien jeune. Et : encore un qui
rue
dans les brancards, c’est très bellettrien. Un disque de gramo comme
11
anarchie sont : chanter l’Internationale dans les
rues
, faire la noce, écrire un livre de tendances très modernes. Et des ge
12
e, École errait, École suivait une femme dans les
rues
tant soit peu métaphysiques d’une capitale de mes songes. On exigeait
13
… et quitta le bal au matin. Il neigeait dans les
rues
sourdes comme un songe de son enfance. Aux fenêtres du palais s’étoil
14
lendemain était le premier jour du printemps. Les
rues
riaient. Le ciel descendait dans la ville, on marchait dans le bleu.
15
cement… Je me levai sans payer, je partis par les
rues
, une joie violente commençait à m’envahir, contre laquelle je luttais
16
s lumineuses dialoguaient follement au-dessus des
rues
parcourues de longs cris en voyage. Je me sentis perdre pied délicieu
17
is pas fâché. » Il y avait peu de monde dans les
rues
. Des jeunes gens avec une femme à chaque bras, l’air de ne pas trop s
18
ablement… À ce moment, comme nous traversions une
rue
sillonnée de taxis rapides, le homard refusa obstinément de progresse
19
spect quotidien et mystérieux d’une révolution de
rues
, ou la palpitation inquiétante des villes chinoises, Malraux fait pre
20
ux tiers de notre pays ?… Non, non, jamais ! » La
rue
est sale à cause de la fonte de la neige (une boue ocre, épaisse, on
21
peinturlurée de bleu, d’or et de violet. Puis une
rue
de pierre grise toute boursouflée de prétentions munichoises. Puis un
22
nt cette ville désordonnée. Derrière, ce sont des
rues
silencieuses, provinciales, bordées de petits palais à un étage, clos
23
pas tant de visiteurs, et seulement de 2 à 4… Une
rue
étouffée entre des maisons pointues et les contreforts de l’Église du
24
s, et réciter par cœur et à rebours, les noms des
rues
et places de leur ville, comme s’ils étaient tous destinés à la profe
25
s, et réciter par cœur et à rebours, les noms des
rues
et places de leur ville, comme s’ils étaient tous destinés à la profe
26
ur. Durant cette méditation, nous avons gagné une
rue
pauvrement éclairée où l’on s’arrête. Le fantôme derrière nous claque
27
berté aérienne des arrivées, premiers regards aux
rues
croisées qui font des signes pour demain, présentations de mes Espoir
28
ui suit Noël, — la plus sombre de l’année par les
rues
vides sous la pluie étrangère. Une porte basse s’ouvre sur un long co
29
que. Nous sortons ensemble de la petite ville aux
rues
de terre brûlante, aux maisons jaunes basses, ville sans ombre, sans
30
une nuit — rôder à la recherche de Gérard par les
rues
noires aux palais vides mais hantés, et dans les grands cafés du cent
31
s pas fâché. » Il y avait peu de monde dans les
rues
. Des jeunes gens avec une femme à chaque bras, l’air de ne pas trop s
32
blement… À ce moment, comme nous traversions une
rue
sillonnée de taxis rapides, le homard refusa obstinément de progresse
33
berté aérienne des arrivées, premiers regards aux
rues
croisées qui font des signes pour demain, présentations de mes Espoir
34
ui suit Noël, — la plus sombre de l’année par les
rues
vides sous la pluie étrangère. Une porte basse s’ouvre sur un long co
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que. Nous sortons ensemble de la petite ville aux
rues
de terre brûlante, aux maisons jaunes basses, ville sans ombre, sans
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une nuit — rôder à la recherche de Gérard par les
rues
noires aux palais vides mais hantés, et dans les grands cafés du cent
37
pas tant de visiteurs, et seulement de 2 à 4. Une
rue
étouffée entre des maisons pointues et les contreforts de l’Église du
38
ain longtemps côtoya une rivière, des forêts. Les
rues
sont vides jusqu’au cœur de la ville, où l’attend une ample demeure.
39
din aux allées aventureuses. Je sortirai dans les
rues
vides, je monterai jusqu’au signal, voir le pays sous la lune, je cho
40
suis scandalisé quand je vois se croiser dans la
rue
sans se connaître un patron d’usine et l’un de ses mécanos. Ou encore
41
ur. Durant cette méditation, nous avons gagné une
rue
pauvrement éclairée où l’on s’arrête. Le fantôme derrière nous claque
42
berté aérienne des arrivées, premiers regards aux
rues
croisées qui font des signes pour demain, présentations de mes Espoir
43
ui suit Noël, — la plus sombre de l’année par les
rues
vides sous la pluie étrangère. Une porte basse s’ouvre sur un long co
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que. Nous sortons ensemble de la petite ville aux
rues
de terre brûlante, aux maisons jaunes basses, ville sans ombre, sans
45
une nuit — rôder à la recherche de Gérard par les
rues
noires aux palais vides mais hantés, et dans les grands cafés du cent
46
suis scandalisé quand je vois se croiser dans la
rue
sans se connaître un patron d’usine et l’un de ses mécanos. Ou encore
47
pas tant de visiteurs, et seulement de 2 à 4. Une
rue
étouffée entre des maisons pointues et les contreforts de l’Église du
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ain longtemps côtoya une rivière, des forêts. Les
rues
sont vides jusqu’au cœur de la ville, où l’attend une ample demeure.
49
din aux allées aventureuses. Je sortirai dans les
rues
vides, je monterai jusqu’au signal, voir le pays sous la lune, je cho
50
ge au chef de guerre qui traverse aujourd’hui ces
rues
les plus émouvantes du monde : il ne les connaîtra jamais. Il ne verr
51
èlent ce Tchaïkovski qu’on entend siffler dans la
rue
… Je me souviens de ce que j’ai sous les yeux : je le vois déjà comme
52
qui renvoient l’écho familier de nos pas. Et ces
rues
qui tournaient doucement vers une place plantée d’arbres et déserte,
53
s entrer ? Je ne puis pas distinguer les noms des
rues
sur ces maisons jaunes ou grises et si basses. Je cherche à voir, le
54
encore dans la banlieue… Déjà nous descendons une
rue
déserte et provinciale. C’était cela, le boulevard Saint-Michel ? Mai
55
les larmes aux yeux. Premier bruit de pas dans la
rue
. Semelles de bois. Une femme de ménage sort ses clés, ouvre une porte
56
nord et les rives latines au midi, la France à l’
ouest
, l’Alémanie à l’est ; — tout un petit monde si bien cerné, si conscie
57
evauchait Lancelot, sous les ciels méditants de l’
Ouest
celtique ; le Midi sec et enfiévré des troubadours ; et de l’autre cô
58
s, et l’œil ne s’en évade au bas du ciel — vers l’
ouest
— que par cet or lointain que l’eau n’a point doublé, déjà prise de n
59
à nous entendre. Écoutez les jeunes gens dans la
rue
(« sur la rue » ou « en rue », diraient-ils). Ce n’est plus dire, ce
60
re. Écoutez les jeunes gens dans la rue (« sur la
rue
» ou « en rue », diraient-ils). Ce n’est plus dire, ce n’est plus s’e
61
s jeunes gens dans la rue (« sur la rue » ou « en
rue
», diraient-ils). Ce n’est plus dire, ce n’est plus s’exprimer, mais
62
troupes fascistes ces dernières semaines dans les
rues
de Paris. À part cela, M. de Rougemont, malgré ses appels à Luc, n’a
63
grands panneaux hauts en couleur promenés par les
rues
allemandes et italiennes, et jusque dans les pages illustrées de nos
64
, est soudain devenu flagrant. Il promène par les
rues
de nos villes européennes de grands panneaux-réclame qui parlent un l
65
et qu’un homme n’a pas le droit de sortir dans la
rue
coiffé d’un chapeau de paille avant la date fixée par les grands four
66
ns l’homme qu’a lieu le choix, et non pas dans la
rue
, dans l’opinion, ni dans l’Histoire. Le lieu de toute décision qui cr
67
it à écrire. Vers midi, on le voyait parcourir la
rue
la plus animée de la ville, parler, rire et discuter avec des bourgeo
68
plus tard, épuisé par la lutte, il tomba dans la
rue
. On le transporta à l’hôpital, où il mourut paisiblement, en « saluan
69
faut aller plus loin. La foule n’est pas dans la
rue
seulement. Elle est dans la pensée des hommes de ce temps. Tout le gé
70
s est soudain devenu flagrant. Il promène par les
rues
de nos villes européennes de grands panneaux-réclame qui parlent un l
71
et qu’un homme n’a pas le droit de sortir dans la
rue
coiffé d’un chapeau de paille avant la date fixée par les grands four
72
ns l’homme qu’a lieu le choix, et non pas dans la
rue
, dans l’opinion, dans les lois de l’évolution. Le lieu de toute décis
73
est seule créatrice d’une liberté que l’homme des
rues
reste incapable de forger avec toute sa brutalité, ses injustices et
74
s est soudain devenu flagrant. Il promène par les
rues
de nos villes européennes de grands panneaux-réclame qui parlent un l
75
et qu’un homme n’a pas le droit de sortir dans la
rue
coiffé d’un chapeau de paille avant la date fixée par les grands four
76
ns l’homme qu’a lieu le choix, et non pas dans la
rue
, dans l’opinion, dans les lois de l’évolution. Le lieu de toute décis
77
est seule créatrice d’une liberté que l’homme des
rues
reste incapable de forger avec toute sa brutalité, ses injustices et
78
leur que d’avoir traîné son vague à l’âme par les
rues
d’une ville de province ; mais cela donne au moins une matière. Les p
79
se rejoignent très bien par-delà les massacres de
rue
qu’ils nous préparent, — par-dessus la tête de leurs troupes. Nous no
80
les « populaires » ne fait que prolonger dans la
rue
l’opposition stérile et périmée de la droite et de la gauche parlemen
81
les « populaires » ne fait que prolonger dans la
rue
l’opposition stérile et périmée de la droite et de la gauche parlemen
82
’éthique bourgeoise. « Descartes descendu dans la
rue
»30 vient consacrer l’utilitarisme borné en disqualifiant l’esprit pu
83
ux. 30. « Ford, c’est Descartes descendu dans la
rue
», écrivaient Aron et Dandieu dans Le Cancer américain. 31. Dans un
84
Moi. — Quelques observations, en flânant dans vos
rues
… Flâner, c’est une activité plutôt « réactionnaire », n’est-ce pas ?
85
outes les banderoles rouges tendues au-dessus des
rues
et qui portent des devises de propagande pour l’œuvre, contiennent le
86
l’activité la plus visible du Parti N.-S. dans la
rue
. 33. ? (Réd.) 34. Je vois le sourire de mes amis français ! p. « C
87
uement insisté sur ce point. Les démocraties de l’
Ouest
, disait-il en substance, ne sont en réalité que des oligarchies. Le p
88
raie démocratie ! » À quoi les « démocraties de l’
Ouest
» peuvent répondre sans chercher bien loin : si vous n’étiez pas sûr
89
abli cet ordre : on ne se mitraille plus dans nos
rues
, l’État combat la misère et le chômage, nous avons supprimé les parti
90
abli cet ordre : on ne se mitraille plus dans nos
rues
, l’État combat la misère et le chômage, nous avons supprimé les parti
91
arisé Fallait-il donc qu’ils allassent dans la
rue
, qu’ils entrassent dans la bagarre, et fissent de la politique ? — Ce
92
eligieuse. « Les grandes questions gisent dans la
rue
», écrivait Nietzsche ; dans la rue, et non pas dans leurs livres ! E
93
isent dans la rue », écrivait Nietzsche ; dans la
rue
, et non pas dans leurs livres ! Et voilà bien l’usage « exquis » qu’o
94
ratuits en Méditerranée, assurent l’ordre dans la
rue
, la défense nationale et le sommeil des rentiers. J’ajouterai à cette
95
abli cet ordre : on ne se mitraille plus dans nos
rues
, l’État combat la misère et le chômage, nous avons supprimé les parti
96
arisé Fallait-il donc qu’ils allassent dans la
rue
, qu’ils entrassent dans la bagarre, et fissent de la politique ? — Ce
97
religieuse. « Les grandes questions sont dans la
rue
», écrivait Nietzsche ; dans la rue, et non pas dans leurs livres ! E
98
sont dans la rue », écrivait Nietzsche ; dans la
rue
, et non pas dans leurs livres ! Et voilà bien l’usage « exquis » qu’o
99
ratuits en Méditerranée, assurent l’ordre dans la
rue
, la défense nationale et le sommeil des rentiers. J’ajouterai à cette
100
on. Je dis que la crise de la culture est dans la
rue
. Je dis que la culture fait le trottoir. Et que c’est la politique qu
101
cevoir que « les grandes questions gisent dans la
rue
», comme disait Nietzsche. Nous disons « existence » (dure, naïve et
102
es abandonnés par leurs parents aux hasards de la
rue
, qui valent bien ceux de la famille, mais aussi aux hasards de l’éduc
103
e pierraille couronnant des hauteurs ventées. Les
rues
sont étroites et caillouteuses, pleines d’odeurs dès que le vent cess
104
— Dans la petite librairie grande ouverte sur la
rue
principale, je parcours, comme chaque jour, la plupart des journaux p
105
e en mille manières. Les jeux des enfants dans la
rue
, les valets qui le servent, les femmes qu’il rencontre, surtout la lu
106
ui règne actuellement dans les « démocraties de l’
Ouest
» — comme dit le Führer — et qui consiste à biaiser avec les difficul
107
Paysans de l’
Ouest
(15 juin 1937)a 10 décembre 1933 Un discours de l’instituteur. —
108
u conférencier, et nous sortons ensemble. Dans la
rue
noire, un homme nous rejoint : c’est celui qui a présidé la réunion.
109
ai pu constater, dans plusieurs départements de l’
Ouest
, qu’il n’est plus guère de « pays » qui ne soit desservi par une ou d
110
s d’une Compagnie en exercice. a. « Paysans de l’
Ouest
», La Revue de Paris, Paris, n° 12, 15 juin 1937, p. 826-851. Introdu
111
tre jardin. Passée la porte, on enfile une petite
rue
toute blanche qui contourne la panse de l’église et aboutit à la plac
112
avec quelque vivacité, sauf par éclairs, dans la
rue
, par exemple. Déjà je ne puis en retrouver le souvenir autrement que
113
otre jardin. Passé la porte, on enfile une petite
rue
toute blanche qui contourne la panse de l’église, et aboutit à la pla
114
’ai pu constater dans plusieurs départements de l’
Ouest
qu’il n’est plus guère de « pays » qui ne soit desservi par une ou de
115
fond, dans l’odeur des lauriers épais. Voici les
rues
du village, illuminées comme un décor blanc et vert. Des chiens surgi
116
veau cet étrange écho des pas, si proche dans les
rues
vides, et ces mêmes chiens qui reviennent, et pas une âme. — « Vallée
117
i un petit exemple. Dans cette pauvre région de l’
Ouest
, je rencontre une vieille paysanne. Elle se plaint : c’est la jambe q
118
le devant nous, marquant la fin des terres vers l’
ouest
. Sur la dernière lande, la dernière maison luit doucement. Nous voyon
119
otre jardin. Passé la porte, on enfile une petite
rue
toute blanche qui contourne la panse de l’église, et aboutit à la pla
120
e de l’inquisition des voisins. Ici c’est dans la
rue
seulement, et c’est en somme moins énervant, en tous cas plus normal.
121
au conférencier et nous sortons ensemble. Dans la
rue
noire, un homme nous rejoint : c’est celui qui a présidé la réunion.
122
’ai pu constater dans plusieurs départements de l’
Ouest
qu’il n’est plus guère de « pays » qui ne soit desservi par une ou de
123
avec quelque vivacité, sauf par éclairs, dans la
rue
par exemple. Déjà je ne puis en retrouver le souvenir autrement que p
124
e de l’île à bicyclette, de la Grande-Conche, à l’
ouest
, jusqu’au bois de pins à l’est et au Fier, qui termine les marais, no
125
es abandonnés par leurs parents aux hasards de la
rue
, qui valent bien ceux de la famille, mais aussi aux hasards de l’éduc
126
e pierraille couronnant des hauteurs ventées. Les
rues
sont étroites et caillouteuses, pleines d’odeurs dès que le vent cess
127
Il y a des jours où tout, oui vraiment tout, les
rues
, les gens, les PTT, les magasins et les journaux, nous irrite ou exci
128
— Dans la petite librairie grande ouverte sur la
rue
principale, je parcours comme chaque jour, la plupart des journaux pa
129
istoire, chaque nuance de la Tradition possède sa
rue
, ou au moins son quartier. On circule à travers les classiques, les e
130
encore un temps, et je goûtais la douceur de ces
rues
, sinueuses et mal éclairées, lorsqu’un groupe de jeunes gens et de je
131
eorg Brandes raconte qu’on pouvait le voir, de la
rue
, arpenter longuement les pièces illuminées de ses vastes appartements
132
t à écrire. Vers midi, on le voyait parcourir les
rues
les plus animées de la ville, parlant, riant et discutant avec les bo
133
fond, dans l’odeur des lauriers épais. Voici les
rues
du village, illuminées comme un décor blanc et vert. Des chiens surgi
134
veau cet étrange écho des pas, si proche dans les
rues
vides, et les mêmes chiens qui reviennent, et pas une âme. « Vallée d
135
hargé de cours dans une Université allemande de l’
Ouest
. On a choisi parmi ces observations celles qui paraissent garder leur
136
endre. » Certes, Hitler a rétabli l’ordre dans la
rue
. Il fait régner la paix sociale. Il y avait six millions de chômeurs
137
que. Nous sortons ensemble de la petite ville aux
rues
de terre brûlante, aux maisons jaunes, basses, ville sans ombre, sans
138
tique de l’Europe en 1938. — Les démocraties de l’
Ouest
avaient fondé leur paix sur deux principes : droit des peuples à disp
139
es intestines sans grandeur, les démocraties de l’
Ouest
ne surent tirer d’un événement aussi considérable que des conclusions
140
oici depuis un mois bientôt dans cette ville de l’
Ouest
, non loin du Rhin. Ancienne ville d’Empire, vieille culture, richesse
141
abac, dans la tristesse des ciels pesants sur les
rues
grises et trop bien astiquées. Méthode : Se garder d’attribuer au nat
142
rs, nous courions aux fenêtres chaque fois que la
rue
retentissait de chants. C’était une troupe noire ou brune, par rangs
143
ou deux par villa seulement. Mais les maisons des
rues
commerçantes et des quartiers populaires sont rouges du haut en bas.
144
nt puissant, soudain, a retenti au tournant de la
rue
. C’était un défilé de chemises brunes. Ils ont passé longuement devan
145
d. Je me suis laissé dire aussi que la police des
rues
feint de relâcher sa surveillance au cours de la quatrième semaine du
146
en sorte que les passants enhardis traversent la
rue
avec témérité aux moments interdits, et ce piège rapporte à l’État be
147
encore la vie de ces foyers qui se répand par les
rues
marchandes, aux devantures illuminées en plein midi, dans un parfum d
148
Moi. — Quelques observations, en flânant dans vos
rues
… Flâner, c’est une activité plutôt « réactionnaire », n’est-ce pas ?
149
outes les banderoles rouges tendues au-dessus des
rues
et qui portent des devises de propagande pour l’œuvre contiennent le
150
près comme avant, sauf qu’on ne tue plus dans la
rue
. (Je crois que c’est cela que les bonnes gens baptisent « l’ordre ».)
151
t dans sa voiture qui longeait très lentement une
rue
étroite, mal éclairée. Une seule chaîne de SS le séparait de la foule
152
, quand il ne retentit pas comme un défi dans les
rues
martelées de bottes, ou comme un hymne sacral au Führer sous les voût
153
endre. » Certes, Hitler a rétabli l’ordre dans la
rue
. Il fait régner la paix sociale. Il y avait six millions de chômeurs
154
uement insisté sur ce point. Les démocraties de l’
Ouest
, disait-il en substance, ne sont en réalité que des oligarchies. Le p
155
raie démocratie ! » À quoi les « démocraties de l’
Ouest
» peuvent répondre sans chercher bien loin : si vous n’étiez pas sûr
156
al du Führer. L’abdication des « démocraties de l’
Ouest
» traduit, entre autres, leur mauvaise conscience d’États centraliste
157
t dans sa voiture qui longeait très lentement une
rue
étroite. Une seule chaîne de SS le séparait de la foule. J’étais au p
158
t dans sa voiture qui longeait très lentement une
rue
étroite, mal éclairée. Une seule chaîne de miliciens le séparait de l
159
pôts de marchandises venues des Indes. Cette même
rue
se prolonge par des villas d’une incroyable variété de formes ultramo
160
théâtre. Dans cette ville dont les places et les
rues
sont si pareilles à des décors, la nuit, nous avions l’impression de
161
ouvelles qui se préparent pour vous autres vers l’
ouest
, Sigismond vous offre sa paix, à toujours et à perpétuité. Nicolas
162
Je pense à cette menace dont il est bruit, vers l’
ouest
, ce grand duché occidental sous le règne d’un tyran fou, que l’on a s
163
ek. — Holà ! Je vois un messager, là-bas, vers l’
ouest
, dans le couchant ! Diesbach. — Il fait signe, il crie ! Écoutez
164
li, tantôt le fait qu’on n’assassine plus dans la
rue
mais seulement dans les prisons d’État. Je n’hésite pas à le dire : l
165
ement général — ce qui ferait taxer l’homme de la
rue
de cynisme ou de lâcheté. Faut-il penser qu’ils sont plus courageux ?
166
d’un saint qui vivrait sa vie consacrée dans les
rues
, les cafés, les métros. Je le vois sortant de cette église ouverte, o
167
ge au chef de guerre qui traverse aujourd’hui ces
rues
les plus émouvantes du monde : Il ne les connaîtra jamais. Il ne verr
168
li, tantôt le fait qu’on n’assassine plus dans la
rue
mais seulement dans les prisons d’État. Je n’hésite pas à le dire : l
169
bâtiment, se transmettait dans la profondeur des
rues
environnantes et revenait submerger le square comme une marée de joie
170
e vingtaine de kilomètres, et deux-cent-cinquante
rues
de quatre kilomètres coupant les avenues à angle droit. Au milieu, un
171
t j’étais si bien au fond d’une gorge, dans cette
rue
de briques noircies où circulait un vent âpre et salubre. La mer et l
172
ement désertique. Les Américains des plaines de l’
Ouest
, venant à New York, ont coutume de se plaindre de l’inhumanité que re
173
rait des âmes dans leur destin. Je longeais cette
rue
silencieuse, imaginant d’y vivre un jour, dans une fermette aux volet
174
suis aux champs Paix du village, silence des
rues
vides, ouvertes sur le ciel et sur les blés. J’étais là fasciné comme
175
urment : elle ne pouvait plus se promener dans la
rue
sans se voir aussitôt attaquée par les oiseaux. Depuis des mois, elle
176
t dans sa voiture qui longeait très lentement une
rue
étroite, mal éclairée. Une seule chaîne de SS le séparait de la foule
177
ge au chef de guerre qui traverse aujourd’hui ces
rues
les plus émouvantes du monde : il ne les connaîtra jamais. Il ne verr
178
attitude spirituelle. La foule n’est pas dans la
rue
seulement. Elle est dans la pensée des hommes de ce temps, elle a ses
179
e lecteur qui parcourt le sommaire de ce livre se
rue
sur le chapitre 37. Voilà le point ! pense-t-il. Quel dommage ! J’ai
180
on tourment : elle ne pouvait se promener dans la
rue
sans se voir aussitôt attaquée par les oiseaux. Depuis des mois elle
181
t dans sa voiture qui longeait très lentement une
rue
étroite, mal éclairée. Une seule chaîne de SS le séparait de la foule
182
ge au chef de guerre qui traverse aujourd’hui ces
rues
les plus émouvantes du monde : il ne les connaîtra jamais. Il ne verr
183
attitude spirituelle. La foule n’est pas dans la
rue
seulement. Elle est dans la pensée des hommes de ce temps, elle a ses
184
e lecteur qui parcourt le sommaire de ce livre se
rue
sur le chapitre 53. Voilà le point ! pense-t-il. Quel dommage ! J’ai
185
on tourment : elle ne pouvait se promener dans la
rue
sans se voir aussitôt attaquée par les oiseaux. Depuis des mois elle
186
t dans sa voiture qui longeait très lentement une
rue
étroite, mal éclairée. Une seule chaîne de SS le séparait de la foule
187
ge au chef de guerre qui traverse aujourd’hui ces
rues
les plus émouvantes du monde : il ne les connaîtra jamais. Il ne verr
188
attitude spirituelle. La foule n’est pas dans la
rue
seulement. Elle est dans la pensée des hommes de ce temps, elle a ses
189
e lecteur qui parcourt le sommaire de ce livre se
rue
sur le chapitre 53. Voilà le point ! pense-t-il. Quel dommage ! J’ai
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ement général — ce qui ferait taxer l’homme de la
rue
de cynisme ou de lâcheté. Faut-il penser qu’ils sont plus courageux ?
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d’un saint qui vivrait sa vie consacrée dans les
rues
, les cafés, les métros. Je le vois sortant de cette église ouverte, o
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lantique, avec tous ses drapeaux claquants et ses
rues
débouchant sur le ciel, la ville aux sept collines oublie la guerre,
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rait des âmes dans leur destin. Je longeais cette
rue
silencieuse, imaginant d’y vivre un jour dans une fermette aux volets
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la plaine. Un peu avant la sortie du village, la
rue
bifurque : une route prend à droite, vers la plaine, escortée de quel
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suis Aux champs Paix du village, silence des
rues
vides ouvertes sur le ciel et sur les blés. J’étais là fasciné comme
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qui renvoient l’écho familier de nos pas. Et ces
rues
qui tournaient doucement vers une place plantée d’arbres et déserte,
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attitude spirituelle. La foule n’est pas dans la
rue
seulement. Elle est dans la pensée des hommes de ce temps, elle a ses